Découverte du lieu. Après un petit déjeuner sur la terrasse, petit briefing. Nico nous donne quelques infos. Nous sommes à 1000 m d’altitude ici. 1€ ~ 3800 pesos. Il faut poser dans les champs marrons, si possible à côté d’un grand axe, qui sont des champs de canne à sucre labourés. Par contre les champs verts sont des champs cultivés de maïs ou de canne à sucre… ou de chili pepper !

En cas d’impossibilité de faire autrement, il est toujours possible de se vacher dans les « rues » faites dans les champs de canne à sucre, larges de 4m.

Ne pas claquer les portes des voitures, les colombiens détestent ! 

Il y a trois chaînes de montagne, la cordillère de l’est, centrale et de l’ouest. Nous sommes dans la vallée de la Cauca, à l’est de Calí, au pied de la cordillère centrale qui s’élève à l’est, c’est donc une face ouest.

Les conditions aérologiques ici sont différentes de celles rencontrées dans les Alpes : voler sous les cumulus est normal. Ils ne dégénèrent en général pas en cumulonimbus.

 

Découverte du site de Piedechinche. Tout le monde dans la navette et direction le déco, 800 m plus haut. Petit arrêt au village pour acheter quelques fruits (bananes plantains… qui nous le découvrirons à nos dépens, ne se mangent pas crues…, mangues, granadillas). Le route passe dans la jungle puis se transforme en piste. Non loin de l’arrivée, un glissement de terrain impose de changer de véhicule pour passer dans un 4×4. La piste est ocre. Nous arrivons au déco a la déco magnifique, et ses pentes herbeuses nickel. Orientations nord et ouest. Les conditions en vol sont toutes calmes. On enroule avec les rapaces. Pas longtemps, tenir n’est pas si facile. On atterrit alors sur l’atterro officiel, au milieu des vaches. Une fois posés, on plie la voile et remonte sans tarder. La journée s’enchaîne ainsi avec plusieurs rotations.

À peine a-t-on posé le pied à terre qu’un jeune accoure pour nous aider à plier la voile moyennant 5000 pesos.

Quelques gouttes de pluie pour le dernier vol, mais qui passent très vite. Les moustiques sont au rdv à l’atterro… un saut dans la piscine, une douche bien méritée et repas à l’hôtel avec jus de maracuya. Quelques uns font un aller-retour à l’aéroport pour faire du change, récupérer la voile de Lio ainsi que Fabrice et Jérôme, qui auront donc passé une journée à « Miaaaaami », à conduire les métros.

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