Entre fin de thèse, cascade de glace et électronique sur parapente
Résumé des épisodes précédents : le projet T’air d’Ailes, ou App’ Ailes d’Air, le nom n’est pas encore arrêté, parti d’une discussion il y a plus d’un an, s’accélère depuis l’automne 2019, avec un contact à l’IAC/ETH de Zürich où 3 chercheurs sont enthousiasmés par le projet. Équiper les parapentistes de capteurs de pollution afin d’obtenir des données avec une très bonne couverture spatiale et temporelle dans les Alpes. Une collaboratrice du CNRS Orléans nous prête deux capteurs pour les premiers tests, je fabrique un pré-prototype en Arduino. Montage du dossier pour candidatures à deux bourses en préparation.
Côté thèse, ça s’accélère, les papiers vont être très intéressants.
L’hiver est à peu près là, pas trop de neige sur le Jura, pas trop froid non plus… Les cascades sont à aller chercher dans des contrées plus froides. Cogne est bien pourvu.